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Toute vérité n'est que perception

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les nécrologies sans jamais oser le demander

Un étonnant travail d’anticipation.

Suite au décès de Maya Angelou, le site Capital New York a consacré un article au département du New York Times en charge des nécrologies.

Le quotidien dispose de 1 700 nécrologies prêtes à être publiées. Cette bibliothèque requiert deux tâches très particulières : décider quels acteurs de l’actualité sont le plus susceptibles de mourir et doivent donc faire l’objet d’une nécrologie et tenir à jour régulièrement les articles et outils multimédia préparés antérieurement.

(CC) thom

(CC) thom

A l’ère de l’information instantanée sur Internet, cette anticipation est plus importante que jamais car il faut pouvoir publier la nécrologie de la personne décédée dans les plus brefs délais.

The New York Times a ainsi mis en ligne sa nécrologie de Maya Angelou, conçue en 2011, une heure seulement après sa mort, et ce avant même que celle-ci ait été confirmée par sa famille. Cette nécrologie comprenait un article, un diaporama et une vidéo spéciale.

Parfois, les personnes concernées sont même interviewées par le journal pour contribuer à la rédaction de leur future nécrologie. Certaines sont horrifiées par cette proposition et d’autres l’acceptent, comme l’ancien maire de New York, Ed Koch, décédé en février 2013. Dans ce cas, un embargo total est promis à l’interviewé jusqu’à son décès, y compris pour les éventuelles (et rares) révélations explosives.

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