28 septembre 2016 | Blog, Blog 2016, Marketing | Par Christophe Lachnitt
Portrait des adeptes de technologies “wearable”
Comme je l’ai évoqué sur Superception (lire notamment ici et ici), les technologies “wearable“1 (accessoires ou vêtements connectés à Internet) ne connaissent pas un décollage fulgurant.
Une étude réalisée par Nielsen en Australie permet de tracer le portrait des (trop rares) adeptes de ces équipements.
Ils sont :
- plutôt jeunes : 38% des familles concernées ;
- pas forcément nantis : un utilisateur sur cinq appartient à un ménage gagnant plus de 150 000 dollars par an ;
- fans de fitness : 81% sont plus enclins à aller dans une salle de sport au moins une fois par mois ;
- attachés à leur image : 46% ont plus de chances de payer un supplément pour acheter des produits leur permettant de projeter l’image qu’ils souhaitent véhiculer ;
- sensibles aux informations disponibles autour d’eux : 49% recherchent activement des informations relatives aux entreprises et produits sur le web et près des trois quarts sont conscients des publicités qui peuplent leur environnement ;
- connectés sur les réseaux sociaux avec les marques de santé et/ou beauté (61% plus que la moyenne des consommateurs).
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1 L’utilisation d’un terme anglais est loin d’être idéale mais les traductions françaises qui prévalent le sont encore moins : “portable” peut aussi bien faire référence aux appareils mobiles qu’aux technologies qui peuvent être portées sur soi et “mettable” est remarquablement laid.